Le 3 février, La Libération a publié un article intitulé « Un couple homosexuel se voit de nouveau refuser l’adoption » traitant le droit de deux femmes françaises qui veulent adopter un enfant. En 1998, le conseil général a opposé ce privilège la première fois à ce couple, car, selon eux, ils suivaient la règle en France où il faut être marié ou célibataire pour adopter. Heureusement, elles ont gagné une nouvelle demande d’agrément « en considérant que la décision a été dictée par des considérations tenant à l’orientation sexuelle ». Pourtant, le président du Conseil général leur a refusé encore une fois disant qu’il y a un « manque d’implication de la compagne et l’existence d’un désaccord dans le couple sur l’âge de l’enfant à adopter » (deux raisons pour lesquelles le couple réfute).
L’auteur présente la nouvelle d’une manière qui montre l’homophobe du côté gouvernemental. Car, le fait que le couple ont essayé pen
dant dix ans d’avoir une nouvelle demande d’agrément devant le conseil général met en question s’il y a vraiment un « manque d’implication de la compagne ». En outre, le rejet du couple qu’il existe un désaccord sur l’âge de l’enfant à adopter fait mettre en question aussi les raisons véritables du conseil général pour avoir refusé la demande des femmes. Cet article aborde ces questions, traitant si les femmes sont les victimes d’un stigmate homosexuel.
D’ailleurs, une autre nuance de l’article plus subtile met en question le stigmate mis aux femmes qui ne sont pas les mères. Comme beaucoup d’autres sociétés, je me demande s’il y a aussi les images négatives en France mis aux femmes qui n’atteindront point les rôles maternels. Il faut qu’on pense de cela aussi quand on considère l’environnement social pour les femmes françaises. Car, il est nécessaire d’estimer des attentes de la société et si ces attentes sont en fait réalisables. Comme cela, ces réponses vont nous montrer de quelle place ont les femmes dans la société française.