GIRAGOSIAN_revue 2_le malaise d'une generation

« Le malaise d’une génération, » un article dans Libération le 12 janvier, discute l’appréhension de la jeunesse française au sujet de l’avenir. Selon l’article, les jeunes constituent un grand nombre de victimes du chômage, spécifiquement ceux qui n’ont pas reçu un diplôme. Cependant, même pour les diplômés, il est beaucoup plus difficile d’entrer dans le monde professionnel dans ce climat économique qu’avant.

Bien que l’auteur de l’article offre une conclusion raisonnable en considérant la situation de l’économie, elle ne donne pas d’exemples concrets de ce « malaise, » alors elle ne répond pas à la question de comment les jeunes expriment leur mécontentement. Ironiquement, elle prétend que les jeunes aient un « sentiment de ne pas avoir la parole, » mais elle ne lui donne pas de voix dans l’article. En citant les jeunes qui sont affectés en fait par le chômage, l’auteur rendrait son argument plus convaincant. De plus, l’article est contradictoire en discutant le rôle de l’éducation en trouvant l’emploi. Par exemple, l’auteur dit que le système éducatif français n’aide pas les élèves à obtenir un diplôme, parce que ceux en difficultés ne reçoivent pas assez attention individuelle. Au même temps, elle parle de la « dévalorisation » du diplôme dans le CV. Alors, elle n’est pas claire sur qui est blâmable : le système éducatif pour échouer à donner aux élèves les outils nécessaires pour trouver de l’emploi, ou le monde d’affaires pour trop augmenter le niveau demandé d’emploi. Finalement, l’article ne fait pas mention de jusqu’à quel point ce problème est un résultat de la crise économique. Certainement, le chômage est un problème actuel familier aux de nombreux pays, mais à la fin d’article, l’auteur dit que le prix d’une éducation crée une jeunesse qui dépend de leurs parents plus longtemps. Donc, elle suggère que le « malaise d’une génération » peut être un plus grand phénomène qui reflète un problème avec la structure de la société, pas simplement la situation financière.

Revue de Presse - Anna Giragosian