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Revue de presse - Anna Giragosian
Les adolescents prennent le pouvoir à la maison
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Cet article, « Les adolescents prennent le pouvoir à la maison, » dans Le Figaro le 19 février, s’agit de l’addiction aux écrans— la télévision et l’ordinateur— parmi les adolescents. Selon l’article, les adolescents français passent si beaucoup de temps devant un écran qu’ils ne se couchent pas assez. Le fait que les parents ont du mal à réguler ce comportement de leurs ados est une indication d’un plus grand manque de contrôle parental à la maison. L’article essaie de rendre trop grave un phénomène très typique entre les adolescents. Probablement, la plupart des ados devraient dormir plus, mais les écrans ne sont pas nécessairement le problème. L’auteur ne répond pas à la question de si ce problème soit vraiment simplement une tendance typique des ados qui se manifestent autrement dans cette époque plus technologique que dans des époques précédentes. A un certain âge, des adolescents deviennent plus sociales, alors « chatter » sur l’internet est très populaire. Cependant, sans un ordinateur, ils peuvent aussi parler au téléphone ou visiter chez un ami. De plus, la plupart des ados veulent de l’indépendance, et en trop restreignant leurs ados, les parents peuvent créer une relation plus négative avec eux. Donc, l’article n’est pas juste en suggérant que tous parents doivent poser des limites strictes de l’usage de l’ordinateur ou de la télévision. En réalité, il n’existe pas une structure qui marche pour chaque famille. Finalement, l’auteur parle des collégiens qui se réveillent trop tard et sont en retard pour l’école. Cela est un fait de la vie au lycée ; beaucoup d’élèves sont souvent en retard et ils ont fatigués en classe, mais ce n’est pas quelque chose qui peut être attribué directement au trop de temps devant un écran.
L’auteur aussi dit que puisque les parents ne puissent pas réguler leur adolescents, la popularité de boire et de fumer avait augmenté. Regarder trop de télévision et boire de l’alcool sont deux choses complètement différentes. L’auteur suggère qu’un manque de contrôle parental des ados à l’ordinateur reflète un manque de contrôle des drogues. Cet argument est un peu ridicule, et tout que l’auteur accompli est de montrer que cette « addiction aux écrans » est vraiment triviale en la comparant avec les problèmes plus sérieux des adolescents.