Les Langues Régionales
Les langues régionales sont une partie de la culture qui est souvent oubliée. Elles jouaient un grand rôle dans la formation de la France, mais elles ne se voient pas attribuer le mérite. Donc il y a un mouvement pour la reconnaissance des langues régionales et pour les intégrer dans les écoles publiques. L’enseignement est la meilleure façon de se répandre la culture d’un pays. Depuis XIXème siècle, quand l’enseignement obligatoire est institué, des écoles publiques ont étouffé les langues régionales. Un but de l’enseignement obligatoire était d’unifier le pays sous une langue. Maintenant il est temps de reconnaitre les langues régionales parce qu’ils ont une importante partie de la culture française. Comment le sait-on ? Dans le passé elles étaient interdit parce qu’elles ont été un obstacle pour unifier le pays sous une langue. De plus elles continuent d’exister même avec l’opposition. Elles n’étaient pas reconnues par tout le pays, mais chaque région continue de parler leur langue régionale. Et finalement il y a déjà du succès pour les donné la reconnaissance. Donc c’est clair qu’elles sont importantes, mais il y a encore des problèmes qui devraient être corrigé s’assurer que les langues régionales auront un avenir.
Dans l’histoire, le français n’est pas la langue officielle. En fait, il n’y avait pas une langue officielle, mais il y avait beaucoup de langues régionales comme le basque, le breton, l’alsacien, etc. C’était pendant XVIème siècle que le français est devenu la langue le plus parlée. En plus, il était la langue que l’État utilise pour unifier le pays. En 1539, l’ordonnance de Villers-Cotterêts a marqué le français comme langue administrative. (Abalain 41) Donc, il était la première étape pour unifier la France sous une langue. Cependant, les langues régionales étaient encore en usage pendant cette époque et elles étaient une menace pour centraliser la langue de la France. Donc il y avait plusieurs actions contre les langues régionales. Beaucoup d’opposition s’est passée dans les écoles parce qu’elles sont utilisée pour diffuser le français. Par exemple, pendant la révolution Abbé Grégoire a fait un discours sur l’abolition du patois. (Blanchet 23) Il croit que si tout le pays pourrait parler la même langue il serait plus unifié. En plus il est nécessaire d’utiliser une langue dans les espaces publique comme les écoles. Donc il a soutenu la centralisation de la langue. Il a dit « Cette entreprise qui ne fut pleinement exécutée chez aucun peuple, est digne du peuple français, qui centralise toutes les branches de l’organisation sociale et qui doit être jaloux de consacrer au plus tôt, dans une République une et indivisible, l’usage unique et invariable de la langue de la liberté.» (wikipedia.org) En plus, l’enseignement obligatoire était institué en 1833 et Louis-Philipe, qui était le roi, a favorisé l’enseignement en français. (Abalain 42) Toutes ces mesures montrent que les langues régionales étaient un obstacle pour la centralisation de la langue. Le fait que tant de gens étaient inquiétée par leur effet montre que les langues régionales étaient importantes dans l’histoire. S’elles n’étaient pas importantes, puis il n’était aucune opposition aux langues régionales. Mais il y a autres indications qui montrent leur importance.
C’était aussi à cause du fait qu’elles continuaient à exister même s’il y avait tant d’opposition. La centralisation était le but pendant les années formatives de la France. Mais même la langue la plus vieille existe encore. Le basque a encore une grande présence en France, tandis que les autres langues d’Europe ancienne sont mortes quand il y avait une invasion par les Indo-Européens. (Blanton 17) En plus, les autres langues qui forment de latin comme l’Oïl, l’Oc, Franco-provençal, sont présent dans toute de la France. (Blanton 24) Il y avait aussi quelques régions qui étaient loin d’implémenter le français comme la langue générale. Bordeaux est un bon exemple. Abalain a dit « à Bordeaux on parlait toujours gascon à la fin du XIème siècle, et, dans des nombreuses régions françaises, le français était loin de s’être impose au début du XXème siècle. » (Abalain 41) De plus, aujourd’hui au moins de 20 % de la population continue de parler une des langues régionales. Donc elles ont survécu toutes les oppositions. Ce n’est pas possible s’elles n’ont pas quelques sortes de valeur ou s’elles n’étaient pas parlées dans des différentes régions de la France. C’est clair que les langues régionales jouaient un rôle dans le passé donc elles devaient avoir un effet sur la culture française. Leur existence pendant toutes ces années montre leur importance en France.
Bien que les langues régionales fussent un obstacle pour unifier le pays sous une langue, elles n’ont pas disparu complètement. Dans chaque région, elles a continue à jouer un grand rôle dans la culture et dans la vie quotidienne. Elles existaient et évoluaient comme le français, mais seulement dans leur région. Maintenant elles sont encore présentes dans chaque région et le but des gens a changé. Les gens ne veulent plus étouffer les langues régionales, mais ils veulent les sauver.
Donc, le mouvement qui a commencé plus récemment pour sauver les langues régionales aussi montre leur importance en France. La bataille pour la reconnaissance des langues régionales a commencé autour de 1950. En 1951, la loi Deixonne a reconnu l’existence des langues régionales. Mais le but était plus grand. Ils ont voulu que les langues régionales fussent intégrées dans l’enseignement. La première étape était l’usage des écoles associatives. Ces écoles ont offert l’enseignement des langues régionales, mais seulement dans les régions ou il y avait une grande demande et les cours étaient enseigner dehors les écoles publiques. Jack Lang, le ministre d’éducation 2000 à 2002 est devenu une personne significative dans le mouvement. En 2000 il a dit publiquement qu’il a soutenu l’enseignement des langues régionales. Il a dit « Je souhaite que ces langues soient pleinement reconnues dans notre système d'enseignement, à tous les échelons. C'est l'esprit du plan pour l'école que j'ai récemment présenté. Entre 5 et 12 ans, un enfant a l'oreille musicale. Il faut lui offrir toutes les possibilités d'apprentissage des langues : la langue nationale qui est l'ossature même de notre enseignement, une langue vivante étrangère et la langue particulière de la région". » (Leclerc) Plus récemment, la constitution a reconnu les langues régionales officiellement. En Juillet 2008 il y avait un changement sur article 75-1 qui a dit « les langues régionales font partie du patrimoine de la France » Tout ce progrès montre qu’il y a un intérêt accru dans la nouvelle génération. Elle veut que les langues régionales soient préservées. Donc la jeunesse voit la valeur et l’importance historiquement des langues régionales. Le progrès est bon, mais ce n’est pas suffisant.
Toute l’évidence ci-dessus montre la validité des langues régionales. Elles sont une partie de la France ancienne, mais elles continuent d’exister. Même quand il y avait d’opposition, elles pourraient rester vivantes. Elles touchent la culture même s’elles étaient interdites. De plus, la jeunesse a reconnu leur importance et elle a commencé à préserver les langues régionales. Toutes ces choses montrent que les langues régionales sont importantes dans la culture française. Elles jouaient un grand rôle dans le passé, mais il est nécessaire qu’elles soient partie de l’avenir aussi. Elles sont une partie de la culture qui devrait être remémorée pour toujours. Mais pour le faire, on doit continuer d’enseigner les langues régionales.
Pour le garantir, l’enseignement des langues régionales doit être une priorité pour le ministère d’éducation. Une organisation qui s’appelle la Fédération pour les langues régionales dans l’enseignement public est le lien entre les avocats des langues régionales et le gouvernement. Leur rendez-vous avec le ministère d’éducation en 2008 montre les demandes qui existent malgré tout le progrès. Chaque région donne un reportage sur leurs besoins. En tout ils avaient les demandes similaires. La demande le plus importante est une garantie que les écoles publiques offriront les langues régionales même quand il y a un changement du gouvernement. Autrement dit, ils veulent une loi qui garantit l’enseignement des langues régionales. Maintenant les langues n’ont pas cette garantie donc il y a quelques endroits qui refusent l’ouverture des sites pour enseigner les langues régionales. Par exemple, les représentatives de breton ont dit qu’un problème est, « Le refus d’ouverture de sites même quand les conditions d'ouverture de la circulaire 2011-167 sont remplies (accord du maire et nombre d'enfants) et même lorsqu'il s'agit d'une ouverture dans un pôle choisi par le rectorat (vannes). » (flarep.com) Les représentatives de catalan a dit quelque chose très similaire. Leur besoin est « rationaliser l’initiation à la langue régionale. Garantir la continuité pédagogique et garantir l’accès à tous les élèves. » (flarep.com) Donc il y a un besoin pour une loi qui peut faire respecter l’enseignement des langues régionales. Il est nécessaire pour l’existence des langues régionales dans l’avenir.
En tout, les langues régionales sont intégrées dans la culture française. Elles étaient une grande présence dans le passé et dans le présent. Elles ont survécu à travers les âges et elles ont gagné le soutien de la génération le plus jeune. Encore qu’elles ont établi leur valeur et leur importance, il n’y a aucune loi qui protège l’existence des langues régionales, donc l’avenir pour les langues régionales n’est pas garantir. Mais les organisations comme FLAREP continuent de mener un mouvement pour insister l’enseignement des langues régionales. Ils ont un lien avec l’Etat et ils s’organisent chaque année pour donner le ministère d’éducation leurs demandes. Donc ils ont fait du progrès, mais ils ont encore beaucoup de travail pour garantir l’avenir des langues régionales. Cependant, s’ils continuent à travailler l’avenir sera garantie et il y a une chance que les langues régionales seront incluses dans le programme nationale.
Créé par Deanna KOCH