La République France est un régime très divers, avec des citoyens qui viennent de tous les pays du monde.  Mais une partie de ces gens ne sont pas citoyens : ils sont des immigrés clandestins, qui sont arrivés en France sans papiers pour travailler, souvent avec leurs familles.  La plupart des temps, ces immigrés ont fait face à de nombreux dangers pour arriver en France.  Et les dangers ne s’arrêtent pas en France, parce que les clandestins sont toujours en péril d’être déporté.  Mais en février 2009, le ministre de l’immigration, de l’identité nationale et de l’intégration Eric Besson a signé une loi qui encourage les immigrés clandestins à donner les noms des contrebandiers à la police en échange d’une carte de séjour temporaire.  Cette loi est très controversée, et, à la fin, la loi fera plus de mal que de bon pour les immigrés.  La nouvelle loi est un exemple des lois anti-immigration que le livre Les Français par Laurence Wylie et Jean-François Brière, écrit en 2001, doivent discuter pour montrer une vue moderne des Français au sujet de l’immigration, particulièrement l’immigration clandestine, en France.

Les auteurs de Les Français comparent la France aux Etats-Unis, un pays constitué presque entièrement des immigrants qui gardent les traditions de leurs pays d’origine. Contrairement aux Etats-Unis, Wylie dit que les immigrants en  France « peuvent conserver les traditions de leur nation d’origine (langue, religion, cuisine, etc.) chez eux, dans leur vie privée uniquement » (246).  La France ne veut pas se penser comme un pays d’immigrants ; elle veut conserver la nationalité et l’identité françaises, que quelques Français assimilent à l’ethnicité française.  Wylie examine bien l’immigration légale en France, mais l’immigration illégale est une vérité qu’on ne peut pas ignorer.  La vie pour un immigré est difficile, mais la vie d’un immigré clandestin est dangereuse.  Ils sont arrivés en France pour échapper au danger, au mal santé, ou à la pauvreté, mais la France est un pays particulièrement hostile envers l’immigration illégale.  Par exemple, en octobre 2005, le rapport de la commission d'enquête du Sénat sur l'immigration clandestine contient 45 recommandations pour connaître, traiter, et prévenir l’immigration illégale, qui inclut la suggestion : « Veiller, à l'avenir, à éloigner les étrangers en situation irrégulière dans de brefs délais après leur entrée sur le territoire ».  Alors, le Sénat pense que la France doit déporter les immigrants plus vites au  lieu de trouver des chemins pour aider les clandestins à devenir citoyens. 

Presque rien n’a changer depuis 2001 dans les attitudes des Français envers d’immigrants ; la xénophobie existe encore, particulièrement parmi les membres de la droite politique.  Selon Wylie, le parti d’extrême-droite, le Front National, est « très hostile aux immigrés étrangers » et ce parti a fondé son identité politique sur sa position contre l’immigration ; son slogan est « La France aux Français » (164-5). Le livre de Wylie était écrit avant de l’élection de Nicolas Sarkozy, mais selon le site Web de l’U.M.P., le parti politique du Président Sarkozy, on doit « mettre fin au détournement des procédures d’immigration légale » en rendant plus difficile le mode d’obtenir la nationalité française même pour les immigrés avec la documentation.   Bien sûr, pas tous les Français sont hostiles aux immigrants, mais l’identité et l’héritage français sont des valeurs importantes à la plupart des citoyens.  Wylie examine les attitudes envers l’immigration qui s'étaient développées en France pendant un siècle, mais pour vraiment être à jour, le livre de Wylie doit inclure les lois qui montrent ces attitudes, notamment la nouvelle loi de février 2009.

Pour mieux comprendre la situation des immigrés aujourd’hui, il faut considérer l’histoire de l’immigration en France. Dès le commencement du XXe siècle, la France est en train de devenir de plus en plus un pays d’immigration.  La plupart des immigrés viennent des anciennes colonies françaises, particulièrement dans l’Afrique et l’Asie.  Parce que plusieurs pays colonisés, comme l’Algérie, le Maroc, et la Tunisie, sont des pays musulmans, une grande partie des immigrés pratique l’Islam. Il y a aussi des nombreux immigrés qui viennent des autres pays européens (notamment le Portugal), le Cambodge, l’Indochine, et le Moyen-Orient. Selon le livre « Les Français », environ 4 millions de 60 millions d’habitants, ou 6,6%, viennent de l’étranger, la plupart du Portugal, de l’Algérie, et du Maroc (119).  Des statisques plus récents, de l’Institut National de la Statistique et des Études Économiques en 2006, estiment que 8% de la population de la France viennent des pays étrangers.  Ces chiffres n’incluent pas des immigrés clandestins, qui arrivent illégalement sans documentation, fréquemment avec l’aide des contrebandiers qui fait du trafic humain.

Il est difficile d’obtenir des chiffres aux immigrés clandestins en France, mais en mai 2005 Dominique de Villepin, ancien ministre de l’intérieur, a estimé que le nombre des immigrés sans papiers sur le territoire français était entre 200 000 et 400 000 personnes.  L’immigration clandestine existe en deux façons : quand des immigrants arrivent en France en secret sans les documents nécessaires, ou quand un immigrant avec ses papiers reste en France après l’échéance de sa carte.  Le livre de Wylie n’examine pas la situation des immigrés illégaux, qui fréquemment travaillent dans des mauvaises conditions pour peu d’argent, après avoir risqué ;es vies pour arriver en France et échappant aux dangers de leurs pays d’origine, souvent l’Algérie ou d’autres pays musulmans.  Bien sûr, l’immigration illégale est contre la loi, mais la situation triste des immigrants clandestins est réelle.      

La nouvelle loi encourage les clandestins d’exposer les passeurs d’humains qu’ils apportent en France.  Selon la nouvelle loi, des clandestins qui coopèrent avec les autorités françaises peut avoir une carte de séjour temporaire de six mois.  Ils ne doivent plus travailler dans des caves, effrayés et seuls.  Ils peuvent s’intégrer dans la société française.  Et, si l’information que le clandestin a donnée à la police a pour résultat une arrestation, il peut recevoir une carte de résidence de dix ans.  Selon un article dans le journal Le Monde, le ministre Eric Besson, qui ont signé la loi, la décrit comme une bonne occasion pour les clandestins de montrer « la force et le courage de portent plainte. »  Mais quoique la loi semble en faveur des immigrés, un examen plus soigneux révèle que la loi fait vraiment du mal aux immigrés.

Premièrement, la loi n’aide pas vraiment les immigrés.  Fréquemment, les contrebandiers sont parties d’une grande organisation des passeurs en trafic humain.  Si un clandestin expose un contrebandier, le contrebandier peut menacer sa famille ou ses amis.  Pour cette raison, il est peu probable que les immigrés relèveront les passeurs, malgré la promesse d’une carte de séjour.  En fait, selon des organisations qui ont parlé avec Agence Presse France, moins de 100 clandestins ont donné les noms de ses passeurs à la police.  Donc, la loi n’est pas vraiment efficace, parce que les contrebandiers ont trop de pouvoir sur les clandestins qui sont redevables aux passeurs.  La loi ignore les conditions des immigrés clandestins et le fait qu’un clandestin vive souvent sous le pouvoir du passeur qui lui aide à arriver en France.  Un clandestin ne veut pas mettre en colère une grande organisation des contrebandiers qui peut torturer ou tuer sa famille, même pour une carte de séjour.  En plus, la loi punit seulement les passeurs—mais il y a une grande organisation sociale qui permettre l’immigration illégale à continuer.  Pour exemple, la loi ne punit pas les employeurs qui utilisent le labour des immigrés clandestins pour beaucoup moins cher que le labour des Français.  D’abord, le but de la loi est de réduire l’immigration en éliminant les passeurs qui emmènent les immigrés à la France.

L'association Solidarité Pays de Rance, qui aide les réfugiés, se demande dans un article de maville.com : Qui est un passeur ?  L’association suggère qu’on remplace le mot « passeur » avec le mot « aidant » pour montrer des complexités morales de ce débat.  Il n’est pas toujours vrai que les passeurs sont des contrebandiers qui veulent faire mal aux immigres—quelquefois le passeur d’un immigré clandestin est un membre de son propre famille ou un ami qui veut l’aider.  Aucun clandestin exposera sa famille ou ses amis.  La loi expose aussi les organisations comme Solidarité Pays de Rance, qui donne de la aide aux immigrants, au danger parce que selon la nouvelle loi, « toute personne qui facilite le séjour irrégulier d'étrangers en France est passible de poursuites », même les aidants, les familles, les amis, et les organisations charitables.

Bien sûr, on doit lutter contre l’immigration illégale.  Il est vrai que les immigrants clandestins ne respectent pas la loi.  La nouvelle loi de février 2009 essai de trouver un compromis qui aide les clandestins à obtenir la nationalité française tandis qu’elle arrête l’afflux des immigrants illégales qui arrivent en France avec l’aide des contrebandiers, mais la loi ignore les difficultés de la vie d’un clandestin.  La France est un pays où la vie est très luxueuse, avec de la santé publique, un bon système d’éducation publique et privée, et des avantages pour travailleurs.  Au lieu de fuir des immigrants, les Français devraient épouser la diversité, et trouver des chemins pour les immigrés légaux et illégaux pour devenir citoyens de la France.  Pour être à jour, le livre de Wylie et Brière doit examiner la réponse légale à l’immigration légale et clandestine en France.

Oeuvres consultées

1.  Brière, Jean-François et Laurence Wylie..  Les Français.  Third Edition.  Prentice-Hall, Inc. : Upper Saddle River, NJ.  2001.

2.  Buffet, François-Noël et Georges Othilly.  « Rapport de la commission d'enquête sur l'immigration clandestine, créée en vertu d'une résolution adoptée par le Sénat le 27 octobre 2005 ».  La Documentation Française, avril 2006. http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/064000340/index.shtml

3.  Gbadamassi, Falila.  « Immigration clandestine en France : de Villepin se veut plus ferme ».  Afrik.com, 11 mai 2005. http://www.afrik.com/article8385.html

4.   Ouest-France. « Notre soutien aux réfugiés continuera ».  maville.com, 15 avril 2009.  http://www.dinan.maville.com/actu/actudet_--Notre-soutien-aux-refugies-continuera-_loc-897384_actu.Htm

5. « Sécurité Justice : Pour Une Immigration Choisie ».  Union Pour un Mouvement

Populaire, site Web official. http://www.u-m-p.org/site/index.php/ump/debattre/dossiers/securite_justice/pour_une_immigration_choisie.

6. Van Eeckhout, Laetitia.  « M. Besson : ‘Il ne s'agit pas d'inciter des clandestins à dénoncer d'autres clandestins’ ».  Le Monde, 5 fevrier 2009. http://www.lemonde.fr/cgi_bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=1069254&clef=ARC-TRK-G_01