La Vie Politique

 
 

Les jeunes Français ne sont pas seulement des étudiants et des travailleurs, la vaste majorité des jeunes sont des activistes politiques, aussi.  Comme les adultes français, les jeunes s’intéressent à la vie politique.  Les jeunes sont inquiets à propos des choix des chefs du gouvernement français et les règlements des universités.  Ils deviennent actifs dans la politique pour protéger leurs droits et leurs espoirs.  Il y a des syndicats étudiants dans lesquels beaucoup de jeunes Français deviennent actifs dans la politique universitaire, française et mondiale.  Alors, un jeune Français devient plus actif dans la politique s’il devient étudiant à l’université. Beaucoup de jeunes Français sont inquiets à propos de certains sujets comme le chômage, l’immigration, la guerre en Iraq et leurs propres droits ; alors, ils participent aux activités politiques comme les manifestations et les élections pour influencer les décisions des chefs de la France.  Les jeunes Français comprennent l’importance de leur présence dans la politique et ils essaient de s’engager aussi souvent que possible.


L’Union National des Étudiants de France ou L’UNEF est « la première organisation syndicale étudiant » et l’UNEF « fonde son engagement autour de la défense des intérêts matériels et moraux des étudiants » (UNEF).  Selon le site-web de l’UNEF, cette organisation s’intéresse aux défis que les étudiants affrontent comme l’ « obtention d'une bourse, d'un logement au CROUS, règlement d'un problème d'examen »  (UNEF).  L’UNEF organise des manifestations et fait de la publicité pour beaucoup de campagnes pour les droits et la santé des étudiants (UNEF).  À part promettre à « défendre, informer et représenter les étudiants », l’UNEF veut « intervenir sur des sujets de société : lutte contre l'extrême droite, lutte pour les droits des femmes, contre la mondialisation libérale... » (UNEF).  On peut voir qu’être un étudiant français, c’est être un activiste politique, parce que le syndicat des étudiants encourage les membres à « s’engager sur les questions de société » pendant qu’ils protègent les droits des étudiants (UNEF).  Il est important de noter que l’UNEF est « indépendante des partis politiques » et qu’ « elle fonde son engagement autour de la défense des intérêts matériels et moraux des étudiants » (UNEF).  Alors, pour être actif dans l’UNEF on ne doit pas s’affilier avec un parti politique, il faut qu’on veuille travailler pour améliorer les conditions pour les étudiants et la société, en général (UNEF). 


Il existe aussi des autres syndicats étudiants comme la Fédération Syndicale Étudiant ou la FSE.  Sur le site-web de la FSE, on déclare qu’ « il est nécessaire de nous unir pour l'amélioration de nos conditions d'étude et pour défendre le service public d'éducation. Seul un syndicat combatif et massif pourra nous permettre de faire entendre nos voix et aboutir nos revendications » (FSE).  L’opération de la FSE repose sur les luttes et les manifestations et elle est inquiète du « militantisme quotidien » et elle est « contre la cogestion » (FSE).  La FSE semble un peu plus radical que l’UNEF, mais dans tous les cas, les jeunes sont toujours actifs dans la politique.  Un autre syndicat étudiant est l’Union Nationale Interuniversitaire ou l’UNI, qui est associé avec le parti politique de droite en France.  Un des objectifs de l’UNI est « l’égalité des chances » et les membres sont « contres le communautarisme » (UNI).  Bien que les syndicats étudiants ont des objectifs différents, ils sont utiles pour les jeunes Français parce qu’ils leur donnent l’occasion de s’engager dans la politique.


Autrement que les syndicats, il y a beaucoup des autres raisons et moyens pour les jeunes Français de s’engager dans la politique.  Une émission en ligne qui s’appelle « Les Jeunes et La Politique », où quelques jeunes répondent à la question de comment les jeunes peuvent être actifs dans la politique, révèle beaucoup sur la vie politique de la jeunesse française.  Une femme dit qu’on ne doit pas être attaché au seul parti politique, mais que les jeunes peuvent trouver d’autres moyens pour devenir actifs dans la politique (blip.tv).  Elle dit que les jeunes peuvent manifester contre la guerre en Iraq ou informer les immigrants de leurs droits, parce que toutes ces activités sont politiques, aussi (blip.tv).  Sa réponse montre que les jeunes Français sont vraiment conscients des événements politiques dans leur pays et dans le monde, aussi.  Une autre jeune femme répond à la question de pourquoi est-ce qu’elle est très active dans la politique et elle a dit qu’elle voudrait « se battre pour [ses] idées » et qu’elle voudrait être « utile dans [sa] société » (blip.tv).  Sa réponse montre que les jeunes comprennent l’importance de leur participation dans la vie politique et qu’ils ont leurs propres opinons sur les grandes valeurs.  Un autre jeune a dit simplement qu’il veut être actif dans la politique pour « agir dans le monde » ; une réponse qui montre son envie d’être informé et proactif (blip.tv).  En répondant à la question de pourquoi est-ce qu’elle est active dans la politique, une jeune fille a dit qu’elle voudrait « protéger ses droits » et qu’elle veut protester « le chômage » (blip.tv).  Toutes les réponses montrent que les jeunes Français sont vraiment intéressés à leur place dans la politique de la France et du monde.  À la différence d’un sondage politique, cette émission présente franchement les jeunes français qui répondent en direct aux questions.  Les personnes interrogées montrent que la jeunesse française est vraiment consciente des problèmes qu’elle confronte et que les jeunes veulent participer à la politique pour faire des changements.  Pendant que les réponses viennent des jeunes spécifiques, on peut noter que ceux jeunes dans la vidéo font partie d’un plus grand groupe qui assez puissant et inquiet.


Avec les campagnes et l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007, les jeunes étaient vraiment actifs dans les processus politiques.  L’élection fournit beaucoup d’information intéressante sur des jeunes Français et donne les idées de leurs habitudes politiques, en général.  Pendant les campagnes présidentielles, Ipsos-Choc Hebdo  a demandé à quelques Français âgés de 18 à 35 ans, « qui selon vous incarne le plus le changement politique en France ? » (Craplet).  « 26% » a répondu Nicholas Sarkozy, «25% » a dit François Bayrou, « 19% » a dit Ségolene Royal et « 16% » a répondu Jean-Marie Le Pen ; ces réponses assez diverses marquent que les jeunes Français sont  assez informés pour développer leurs idées politiques individuelles, parce qu’ils ne soutiennent pas le même candidat et cela montre qu’ils ont tous des idées fortes et personnelles (Craplet).  Ipsos-Choc Hebdo  a demandé si les jeunes « ont fait leur choix pour le premier tour ? » (Craplet).  80% a répondu « oui », un chiffre qui montre que les jeunes Français sont tout à fait s’engagés dans la politique, parce que la grande majorité sait qui ils vont soutenir avec affirmation (Craplet).


Selon un sondage donné pendant les campagnes de 2007, 30% des jeunes Français a dit qu’ils « se dispute [parfois] avec leurs proches à propos de l'élection présidentielle parce qu'ils ne sont pas d'accord » (Craplet).  Le fait que les jeunes se disputent sur les idées politiques montre que les jeunes Français sont inquiets à propos de la situation politique de la France.  51% a dit qu’ils « n’évitent jamais délibérément de parler politique à un repas ou une soirée pour ne pas provoquer de disputes » (Craplet).  Le fait qu’une moitié des jeunes n’ont pas de peur de discuter leurs idées politiques montre que la jeunesse a des convictions assez fortes et sérieuses.


Plus précisément et plus récemment avec l’économie en crise et avec les problèmes universitaires, les jeunes et leur participation dans la politique ont reçu beaucoup d’attention.  Après que le ministre de l’enseignement, Valérie Pecresse, a présenté son plan de réformer le système éducatif aux chefs des organisations et des universités, les étudiants étaient descendus dans la rue contre ce réforme (Floc’h).   Les jeunes ont joué un grand rôle important en aidant leurs professeurs sont descendus dans la rue, aussi.  


Selon un article dans Le Monde, beaucoup d’étudiants à quelques universités à Lyon ont voté et ont approuvé la décision de manifester ;  le fait que les jeunes étudiants peuvent décider si les universités sont en grève montre qu’ils ont un grand pouvoir et qu’ils ne sont pas seulement des étudiants, mais des activistes politiques, aussi.  Un étudiant à Lyon-II a dit que « le mouvement doit se structurer pour qu’un regroupement d’étudiants des universités lyonnaises s’opère » ; sa remarque montre qu’elle comprend ce qu’on doit faire pour améliorer les situations dans son université (Floc’h).  L’article signale que « les organisations étudiantes, divisées, peinent à décider de la conduite à tenir et à établir des revendications spécifiques » ; le fait que ces organisations « peinent à établir » quelques « revendications » montre que les étudiants ont beaucoup d’idées différentes et qu’ils travaillent ensemble pour arriver à la conclusion (Floc’h).  Ce rapport montre que les jeunes étudiants sont concernés avec la situation politique de l’université et qu’ils sont assez informés pour faire les décisions importantes. 


Une autre nouvelle récente qui concerne les jeunes Français est qu’au début de 2009, Nicolas Sarkozy « a nommé Martin Hirsch haut-commissaire à la Jeunesse » (nouvelobs.com).  Sarkozy a dit que «nous devons essayer de répondre à cette demande d’autonomie de nos jeunes, pour leur donner les moyens de choisir » (nouvelobs.com).  Le fait que Sarkozy admet que la jeunesse française a une « demande d’autonomie » montre que les inquiétudes des jeunes ont été communiquées assez fortement que Sarkozy veut répondre et améliorer la situation de la jeunesse (nouvelobs.com). 


Les jeunes Français ont une bonne compréhension que s’ils veulent être actifs dans le monde, ils doivent être actifs dans la politique.  La participation de la jeunesse française dans les élections, les grèves et les efforts à informer le public sur les problèmes politiques est indispensable et efficace.  Le syndicat étudiant et les organisations aux universités sont les points de départ pour les jeunes où ils deviennent actifs dans les politiques universitaires.  La participation des jeunes dans les événements plus actuels montre que la jeunesse française est vraiment inquiète à propos de les situations politiques et qu’ils veulent travailler pour changer et réformer les fonctions politiques et pour influencer les choix des chefs de la France. La jeunesse est inquiète à propos de la situation politique de ses universités, ses emplois, son pays et son monde et les jeunes Français veulent s’engager dans la vie politique pour améliorer leur vie et leur avenir. 


 

Martin Hirsch

Haut Commissaire à la Jeunesse

Est-ce que les jeunes Français s’engagent dans la politique? 

Est-ce qu’il y a des organisations politiques pour les jeunes?

Comment est-ce que les jeunes deviennent actifs dans la politique?